Chapitre 15
Pour barder l’avenir d’Alice Wolgman de six années d’intimité sexuelle avec son aïeul, un séjour au sein d’une colonie juive en Israël lui serait salutaire pensaient ses parents.
Mais tout n’est jamais rose.
Quatorze ans.
1976.
Alice Wolgman a vingt et un ans.
Elle traverse les États-Unis accompagnée de son premier mari. C’est l’été. Destination Los Angeles. Deux mois de passage pour rencontrer son cousin.
Mais Alice se pique.
Héroïwoman le soir.
Été brûlant.
Bain de soleil le matin.
C’est Felipe de Neve qui en 1781 dessina la cité des Anges. Ce dernier l’avait baptisée Pueblo de Nostra Senora la Reyna de Los Angeles de Porciuncula.
Un peu long me direz-vous.
Quatre ans passent.
Le mari d’Alice tombe sur la case overdose.
Produit excellentissime ?
1986.
Alice se remarie.
Trois semaines après la noce, son prétendant, sans signe précurseur, se suicide. Pendaison.
Aujourd’hui, Alice ne marche toujours pas sur les terres de son vrai pays des merveilles. Rhum antillais pour ti-punch à volonté dans un club salsa. Et apéro cardinal chez elle tous les soirs.
Aussi Alice se déhanche dans la séduction sur la rythmique cubaine. C’est ici et nul par ailleurs, sur la piste de danse, que le plus beau sourire de la miss se dévoile.
Généreusement.
C’est une festive noctambule.
Suivez la danse.
Commentaires
C'était pour te dire que j'avais bien compris ta leçon de français,
Pis d'abord on ne dit pas réponds moi vite mais j'ai hâte que tu me répondes ! lol
aller, j'te taquine, mais je patiente jusqu'à la suite...biz
quand entends-tu par "gratter la suite" ?
et qu'est-ce-qui te démange (un peu) ?
réponds-moi vite. biz
Tu serais pas entrain de gratter la suite ?....Parce que là, ça m'démange un p'tit peu !